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L’exploitation de l’homme par l’homme

L’exploitation de l’homme par l’homme 850 480 V.M. Kwen Khan Khu

Chers lecteurs : 

J’ai l’immense plaisir de vous faire parvenir les mots de notre Avatar ─ le V.M. Samael Aun Weor ─ dans le présent texte qui fut publié dans la revue Abraxas Nº 11, au mois de décembre de l’année 1966.

C’est un article très profond du point de vue éthique, spirituel, anthropologique et social. Il a pour titre :

L’EXPLOITATION DE L’HOMME PAR L’HOMME

1. La vie a surgi sur la planète TERRE il y a de nombreux trillions d’années, sur la casquette polaire nord, sur l’ÎLE SACRÉE, qui était autrefois située dans la région équatoriale… 

2. L’axe de notre planète Terre est soumis à un déménagement périodique, en vertu duquel la position des pôles et de l’équateur change d’une manière considérable à la fin des siècles, entraînant à son tour des altérations très profondes dans la climatologie capables d’expliquer d’elles-mêmes les phénomènes glaciaux, c’est-à-dire ces périodes singulières que la géologie met en évidence et durant lesquelles les pays méridionaux d’Europe et le nord de l’Afrique, par exemple, ont été recouverts de neiges éternelles, comme le sont aujourd’hui les casquettes polaires, durant des millions de siècles, tandis que les régions arctiques du Groenland, d’Amérique du Nord, de Sibérie, de Spitsbergen, etc., ont joui d’une température tropicale, que la paléontologie a aujourd’hui mis hors de doute.

3. La révolution des axes de la TERRE est maintenant démontrée et les pôles d’aujourd’hui furent l’équateur d’hier.

4. Nous pouvons nous payer le luxe de nous moquer des théories de Darwin et du protoplasme de la science matérialiste, mais il serait stupide de nous moquer de la PREMIÈRE RACE HUMAINE, de cette race PROTOPLASMIQUE originelle qui a surgi de la QUATRIÈME DIMENSION.

5. Certains savants exceptionnels ont pu vérifier par eux-mêmes, en étudiant des documents secrets, que la première formation économico-sociale fut le régime ÉCONOMICO-SPIRITUEL de la communauté primitive, un régime merveilleux qui dura de nombreux millions d’années.

6. La race PROTOPLASMIQUE de la casquette polaire du nord n’a rien eu de sauvage ni de demi-sauvage.

7. La race ORIGINELLE PRIMITIVE a surgi du sein fécond de la QUATRIÈME DIMENSION, armée de pouvoirs psychiques formidables grâce auxquels ils devinrent de vrais ROIS de la nature.

8. Les SCIENTIFIQUES MATÉRIALISTES IDIOTS de cette époque désastreuse que nous vivons, en étudiant les restes fossilisés des races primitives européennes de l’Âge de Pierre, lancent des conjectures stupides sans savoir que ces races des cavernes ne marquaient pas un début mais une fin, car ces hommes furent les derniers vestiges déjà dégénérés de la QUATRIÈME RACE qui brilla un jour, glorieuse, dans le continent ATLANTE submergé.

9. L’homme primitif originel de la casquette polaire du nord n’eut jamais besoin de découvrir le feu, il le connaissait d’instinct et savait l’utiliser sagement.

10. L’homme originel primitif n’a jamais inventé l’arc et la flèche, les auteurs de cette invention furent les hommes de la TROISIÈME RACE, les habitants gigantesques de ce grand continent qui exista dans l’océan Pacifique et qui fut connu sous le nom de MU et plus tard sous celui de LÉMURIE.

11. L’agriculture est antérieure à la chasse ; les Lémures furent fondamentalement des agriculteurs et les Atlantes essentiellement des chasseurs.

12. Ce concept que le développement de la chasse donna lieu à l’apparition de l’élevage primitif n’est pas vrai. Les Lémures ne se dédièrent pas fondamentalement à la chasse et, cependant, ils furent des bergers de troupeaux.

13. L’élevage primitif est antérieur à la chasse ; les Atlantes et les Lémures domestiquèrent les animaux avant que la chasse ne se développe dans le monde.

14. L’agriculture a toujours eu des hauts et des bas. L’emploi des bêtes comme force de travail rendit, depuis les temps primitifs, le travail de l’agriculteur plus productif.

15. Des millions d’années avant le bien connu Âge de Pierre, les Atlantes et les Lémures apprirent à remplacer les bêtes par des machines agricoles.

16. Les relations de production dans les sociétés primitives furent toujours le résultat des relations sociales et spirituelles.

17. Les instruments de travail dans les tribus rurales de la Lémurie furent toujours de propriété collective.

18. Les instruments de travail des hommes qui habitèrent dans les villes lémures furent parfois de propriété collective, parfois de propriété individuelle.

19. Les instruments de travail des communautés lémures et atlantes furent des millions de fois plus parfaits que ceux que nous possédons maintenant, dans ce XXe siècle.

20. Si l’homme primitif avait été si faible et sans défense comme le dépeignent les fanatiques imbéciles du matérialisme historique, il aurait succombé dans la lutte très inégale contre les bêtes sauvages et la nature, son système de vivre en tribus ou en groupes ne lui aurait servi à rien ou très peu.

21. Dans toute tribu l’administration collective des produits de la chasse, de la pêche, la nourriture, etc., fut toujours possible tant que le cacique, le gouvernement, sut respecter les choses, les biens de la communauté ; mais quand le GOUVERNEMENT s’empare des richesses de la communauté, ce système échoue lamentablement.

22. Dans la société primitive, le travail fécond et créateur créait de riches excédents en raison du système de coopération simple, c’est-à-dire que beaucoup de personnes exécutaient un même travail.

23. Là il n’y avait pas l’exploitation de l’homme par l’homme et les membres de la tribu se partageaient les aliments entre tous sans aucun problème.

24. Il est radicalement faux d’affirmer que l’homme vient du SINGE ; la vérité à ce sujet, c’est que le SINGE est fils de l’homme ; un résultat, une conséquence du mélange de l’homme avec certaines bêtes de la nature.

25. Les hommes et les femmes se sont toujours regroupés pour le travail commun bien avant que ne se forme l’exploitation agricole.

26. Il est clair qu’au début seuls les membres de la tribu, les gens unis par des liens de parentés se regroupaient pour le travail.

27. Quand les moyens de travail se perfectionnèrent, la division naturelle du travail surgit dans les groupes : les travailleurs les plus habiles, les plus intelligents, avec le plus de capacités techniques, aujourd’hui comme hier, comme il y a dix et huit millions d’années, purent manier les machines agricoles, les outils compliqués, tandis que les moins habiles continuèrent des travaux simples.

28. La division du travail a existé en tout temps parce qu’il y a toujours eu divers types de travail : agriculture, élevage, chasse, travaux manuels divers, industries diverses, etc. 

29. La division entre tribus agricoles et tribus bergères existe encore aujourd’hui comme il y a vingt ou trente millions d’années en arrière. Dans les forêts profondes de l’Amazonie ou de l’Afrique vivent beaucoup de tribus, les unes dédiées à l’agriculture, les autres à l’élevage ou à la chasse.

30. La division sociale du travail a toujours existé et elle est aussi vieille que l’humanité.

31. Aujourd’hui comme hier et à toutes les époques, la division sociale du travail augmente la productivité de celui-ci ; dans tout pays, dans toute communauté, il existe toujours un certain excès, un certain excédent de quelques produits et des demandes d’autres ; cela a toujours créé les bases pour l’échange commercial.

32. À toutes les époques, à tous les âges, les hommes eurent des cycles d’évolution et d’involution, de civilisation et de barbarie, et à maintes reprises, après chaque Âge de Pierre, ils apprirent à fondre les métaux et à fabriquer des instruments, des armes et des récipients en fer ou en bronze.

33. Les diverses branches industrielles de l’humanité actuelle existèrent sous des formes plus avancées dans les continents submergés de l’Atlantide et de la Lémurie.

34. De toute évidence, il s’avère clair que le progrès des forces productives augmente toujours la capacité productive de l’homme et, aujourd’hui comme hier, il lui fournit toujours plus d’articles de consommation.

35. Le travail collectif créa le capital collectif. Le travail individuel créa le capital individuel.

36. La croissance du capital INDIVIDUEL établit, en fait, la différence entre riches et pauvres.

37. À mesure que les forces productives progressèrent, l’individu accumula plus que ce dont il avait vraiment besoin pour sa subsistance, et il acheta alors des esclaves pour sa propriété, il donna un emploi à d’autres individus, il devint propriétaire et seigneur. C’est ainsi que l’EXPLOITATION DE L’HOMME par L’HOMME apparut sur la face de la terre.

Samael Aun Weor

Je vous laisse maintenant quelques phrases pour la réflexion, chers lecteurs :

« La conscience est la voix de l’âme, les passions celle du corps. La conscience a plus de mille langues ».
Shakespeare

« Notre conscience est un juge infaillible, quand nous ne l’avons pas encore assassinée ».
Balzac

« La conscience pure est la meilleure loi ».
Solon

« Sans concordance il ne peut exister ni un État bien gouverné ni une maison bien gérée ».
Xénophon

QUE LES ÉMANATIONS DU SUPRÊME ARCHITECTE VOUS AIDENT TOUS À CRÉER LE TEMPLE DE VOS ÂMES.
KWEN KHAN KHU