Le présent travail artistique est en relation directe avec l’un des cinq sens de notre machine organique. Nous y voyons tout d’abord une belle dame qui tient dans sa main droite la corne de la déesse Amalthée, qui signifie l’abondance matérielle ou spirituelle.
Dans la scène principale, nous pouvons voir une dame appuyée sur l’arbre de la vie ─l’ÊTRE─, et signalant de sa main droite une toile d’araignée, tandis qu’elle tient un oiseau avec la gauche. Elle est assise sur un rocher représentant la pierre d’achoppement et le rocher de scandale ─la sexualité─, comme l’a bien décrite saint Paul.
L’odorat, chers amis/es, a également une signification profonde dans les mystères. En plus de nous permettre de capter les odeurs de la Mère Nature
La transcendance du sens de la vue
C’est avec un immense plaisir que je vous fais parvenir une des cinq gravures que je vous envoie progressivement et qui sont en rapport avec les cinq sens que possède notre machine organique.
Para entrar en materia, he de deciros que en esta oportunidad el autor se ha querido referir a la facultad auditiva, nuevamente señalada como una cualidad humana y por ello representada bajo la forma de una hermosa fémina.
Les contradictions de l’Ego animal
Para estudiar este magnífico grabado, antes que nada hemos de decir que fue creado entre los años 1575-1618 y se halla en el Rijksmuseum, ubicado en la ciudad de Amsterdam ─Holanda─.
Estimados lectores, os muestro aquí dos imágenes: un dibujo del siglo XVI realizado por Francesco de Rossi en el cual aparece Fanes como deidad hermafrodita,tal como lo describen antiguos textos romanos, y un altorrelieve romano.
Ciertamente, compañeros/as, nuestra vida es comparable a las horas del día: cuando amanece podríamos decir que estamos en nuestra infancia, cuando estamos en el mediodía ─cenit─ podríamos afirmar que hemos llegado a la juventud, cuando comienza la tarde podemos comparar ese fenómeno con la edad adulta, nuestra madurez, y al llegar la noche pues entramos en nuestra vejez.
L’ENFANCE – AUBE. Cette gravure a été réalisée par un artiste appelé Hieronymus Wierix, qui a vécu à Anvers ─ Belgique. La réalité la plus crue nous dit que notre vie est un pèlerinage qui commence précisément dans notre enfance et qui est entourée de diverses circonstances que l’artiste a voulu refléter dans cette œuvre.
Per me se va tra la perduta gente
Je m’empresse de vous faire parvenir cette curieuse sculpture dont l’auteur est Torquato Della Torre. La sculpture a été faite entre 1851 et 1854. Cette représentation sculpturale a un contenu profondément ésotérique et théologico-philosophique.