Je vous envoie le vingt-cinquième emblème du livre Nucleus emblematum selectissimorum, ‘le noyau des emblèmes les plus sélects’.
« DVRABO » (Je résisterai) et « VICTRIX PATIENTIA DVRI » (Patience victorieuse dans les difficultés)
Je vous fais parvenir les vingt-sixième et vingt-huitième gravures d’un livre de poèmes écrit par le poète allemand Gabriel Rollenhagen. Le livre s’intitule Nucleus emblematum selectissimorum, ‘Le noyau des emblèmes les plus sélects’.
« Nil sit in ore, qvod non prius in sensu » (Il n’y a rien dans la bouche qui n’ait été auparavant dans le sens)
Je vous fais parvenir ce quarante-cinquième emblème du livre d’emblèmes de Daniel Cramer intitulé « Nil sit in ore, qvod non prius in sensu » (Il n’y a rien dans la bouche qui n’ait été auparavant dans le sens)
« Pavpertate premor subleuor ingenio » (Je suis abattu par la pauvreté, et relevé par l’inclination naturelle)
Je vous fais parvenir, à cette occasion, un dessin qui apparaît dans un autre livre d’emblèmes intitulé Selectorum emblematum ─ ‘Emblèmes choisis’─. Les textes appartiennent au poète allemand Gabrielis Rollenhagi ─ 1583-1619 ─, et les gravures à Crispijn van de Passe et Jan Jansson ─ 1588-1664 ─.
« Spes et patientia vincit » (L’espérance et la patience triomphent)
En 1630, un livre d’emblèmes de Daniel Cramer a été publié, intitulé OCTOGINTA EMBLEMATA MORALIA NOVA ─ ‘quatre-vingts nouveaux emblèmes moraux’ ─.
Cell ci est l’impression numéro 31.
« Speculum sophicum rhodostauroticum » (Miroir de la sagesse rosicrucienne)
J’ai le plaisir de vous envoyer cette gravure intitulée « Speculum sophicum rhodostauroticum » (Miroir de la sagesse rosicrucienne). Le livre a été signé du nom de Theophilus Schweighardt Constanties
Je vous fais parvenir cette image du Dieu Mercure, bas-relief de la Chapelle du Zodiaque du temple Malatesta de Rimini, en Italie. L’auteur est le sculpteur italien Agostino di Duccio ─ 1418-1481 ─.
« Nicomaxia vitae » (La bataille victorieuse de la vie)
Le titre de notre gravure nous invite à lutter pour notre vie, à lutter pour notre Christ, et les mots latins, traduits, nous signalent que tout est, en vérité, une vanité absolue…
Le monde idiot choisit le bien temporel
Le personnage qui donne son cœur est le monde idiot ─ l’humanité en général ─, qui, en plus d’avoir sa psyché toujours embouteillée dans diverses stupidités fournies par l’illusion mayavique, porte des lunettes pour essayer de corriger sa myopie, mais elles ne lui servent à rien.
Un homme prie la conscience
La première gravure avec ses phrases en latin nous amène à l’auto-analyse pour nous rendre compte que, certainement, l’Ego a ses recoins, ses secrets où il a l’habitude de se cacher pour continuer à nous déranger avec ses ruses psychologiques.