La prudence est la vertu fondamentale que nous devons atteindre pour observer si des changements ont eu lieu dans notre travail intérieur.
On dit que l’art alchimique de la transmutation exige une énorme dose de patience et son alliée, la persévérance.
Cette gravure nous montre, avec tous ses symboles initiatiques et alchimiques, la voie hermétique qui nous conduit à l’auto réalisation intime de l’Être.
Les mystères de l’Alchimie’ entrelacés avec la Mythologie grecque nous montrent les grandes réalités qui existent en arrière-plan du plus grand de tous les arcanes de l’histoire de l’humanité.
Les vierges sages et les vierges folles
Lorsque l’on veut étudier le sujet de l’alchimie, il faut étudier les vierges prudentes et de l’autre côté les vierges folles du portique de la cathédrale d’Erfurt en Allemagne.
Le V.M. Kwen Khan Khu veut partager avec nous quelques réflexions sur quatre gravures alchimiques importantes et très éclairantes.
De l’élection de la grâce
Cette œuvre a été écrite en 1623 par ce mystique allemand, et dans la gravure qui l’illustre, nous pouvons observer d’innombrables aspects doctrinaux gnostiques qui sont intéressants pour nous tous qui essayons de parcourir le chemin de l’autoréalisation.
Contemplation de la révélation divine
Nous devons tout d’abord savoir que cette illustration est l’œuvre du grand mystique allemand appelé Jacob Böhme. Cette gravure est la couverture d’un ouvrage de cet auteur et les éditeurs ont posé 177 questions théosophiques à Jacob Böhme, qui a répondu à 15 d’entre elles.
La vision d’un chevalier
Me comunico con todos/as vosotros/as en esta oportunidad para escribiros acerca de una obra del gran artista italiano llamado Rafael o Raffaello Sanzio de Urbino ─1483-1520─. El título de esta obra es La visión de un caballero, y también El sueño de Escipión
La complainte de Nature à l’alchimiste errant
Cette œuvre d’art a été créée en 1516. Elle est l’œuvre de Jean Perréal, de Paris.
La partie centrale de cette illustration alchimique nous présente l’Alchimiste debout observant le Mercure, qui est assis sur un fourneau qui, à son tour, fait partie d’un arbre.