Nous pourrions arriver à la conclusion suivante concernant les deux couples précédemment cités : la terreur nous fait fuir, mais la pudeur contient cet élan de peur, l’indolence limite l’action, mais doit s’arrêter lorsque la pauvreté, qui est une conséquence de la même indolence, nous oblige à agir.
Le monde idiot choisit le bien temporelhttps://vopus.org/wp-content/uploads/2025/07/el-mundo-necio-elige-el-bien-temporal-dirck-volckertsz-default.jpg850480V.M. Kwen Khan KhuV.M. Kwen Khan Khuhttps://secure.gravatar.com/avatar/e832d7de00772123ef7f897d80b0841daa13143ee04fa7c99f7a066face011ef?s=96&d=mm&r=g
Le personnage qui donne son cœur est le monde idiot ─ l’humanité en général ─, qui, en plus d’avoir sa psyché toujours embouteillée dans diverses stupidités fournies par l’illusion mayavique, porte des lunettes pour essayer de corriger sa myopie, mais elles ne lui servent à rien.
Le cynismehttps://vopus.org/wp-content/uploads/2023/12/el-cinismo-hans-holbein-pilato-lavando-sus-manos.jpg850480V.M. Kwen Khan KhuV.M. Kwen Khan Khuhttps://secure.gravatar.com/avatar/e832d7de00772123ef7f897d80b0841daa13143ee04fa7c99f7a066face011ef?s=96&d=mm&r=g
Dans le cadre de son machiavélisme, l’humanoïde de notre temps a souvent choisi d’enrichir son mental appauvri d’une habitude désagréable, et cette habitude n’est autre que l’horrible habitude de répondre par le cynisme.
