Je prends la plume pour vous faire parvenir quelques commentaires liés à l’importance profonde de nous approcher de la TECHNIQUE DE LA VÉRITABLE auto-observation et de nos aspirations de vivre dans la réalité et non dans les fantaisies.
« Consideratio segunda » (DEUXIÈME CONSIDÉRATION. Dans laquelle la Nature représente l’éternité)
Cette gravure, outre sa beauté, nous rappelle les archétypes liés à l’éternité que nous retrouvons dans les écritures sacrées de tous les temps.
La Chimère d’Arezzo
Cette sculpture, d’origine étrusque, est faite en bronze et on estime qu’elle a été réalisée vers 400 avant JC près de la ville d’Arezzo ─ Italie ─, lieu où elle a été trouvée en 1553. Elle mesure 129 cm de long et 78 cm de haut. Elle se trouve actuellement au Musée Archéologique National de Florence.
Cultura diaboli
Pour commencer notre description, nous dirons que, si nous observons le centre de cette gravure artistique, nous verrons immédiatement la figure de Satan assis sur la sphère qui représente notre monde, et ce pour nous montrer que c’est certainement lui qui, malheureusement, gouverne les destinées de cette fourmilière humaine.
Je vous fais maintenant parvenir la deuxième gravure de la série de quatre au total réalisées par l’artiste flamand Gérard Van Groeningen en 1573. Il s’agit de la série de gravures englobées sous le titre de Les quatre façons de vivre sur terre.
Dieu n’est pas un homme mais il est à l’intérieur de chaque homme.
Dieu n’est pas une femme mais il est l’énergie qui anime son âme.
Dieu n’est pas une plante ou un animal, mais ces Élémentaux viennent des Monades qui, à leur tour, sont filles du Theomegalogos.
Je m’approche de vous tous pour vous faire parvenir une description gnostique de la présente gravure qui correspond à un livre appelé MISTERIUM MAGNUM et qui fait référence à « Jésus et Moïse ».
Dieu est l’amour le plus pur
Dans cette œuvre artistique, on peut voir une jeune fille – une Isis ou une prêtresse – faisant ses ablutions devant un feu qui brûle dans un chaudron et qui est connecté à des rayons lumineux qui viennent des cieux.
Hercule à la croisée des chemins
Ésotériquement, cette gravure -« Hercule à la croisée des chemins »- fait allusion à la décision que doit prendre tout aspirant à l’HOMME SOLAIRE, en d’autres termes, tout Bodhisattva qui, ayant déjà levé ses sept Serpents de Feu, doit se décider clairement entre la Voie Sèche de l’alchimiste ou la Voie Humide de l’art transmutatoire.
La complainte de Nature à l’alchimiste errant
Cette œuvre d’art a été créée en 1516. Elle est l’œuvre de Jean Perréal, de Paris.
La partie centrale de cette illustration alchimique nous présente l’Alchimiste debout observant le Mercure, qui est assis sur un fourneau qui, à son tour, fait partie d’un arbre.