La vraie science, la science de l’ÊTRE, va au-delà de l’intellect. C’est la science provoquée par l’Esprit Saint que nous appelons la vraie science « science du cœur ».
Toujours lors de la naissance de Memnon, roi d’Éthiopie, personnifiant le Bodhisattva, Eos ou la Mère divine sert de lien entre le monde visible et cet autre monde que nous appelons invisible.
L’ÊTRE, ou Dieu, est le maître de notre vie, c’est pourquoi sur les tables de Moïse, le premier commandement a été exprimé, précisément, « Tu aimeras ton Dieu par-dessus tout… ».
Pour atteindre la maîtrise, il est indispensable de marcher sur les rails de la piété et de l’humilité et de se diriger ainsi vers la demeure du Père.
Cette gravure nous montre que l’Esprit Saint donne aux âmes la force ou le pouvoir d’affronter les diverses circonstances de notre existence.
Cette gravure nous enseigne que le Troisième Logos ne demande qu’à éclairer notre chemin en nous donnant de bons conseils pour que nous ne nous trompions pas dans notre pèlerinage.
Cette gravure montre une dame, qui représente la compréhension, l’une des facultés mentales qui doivent être présentes dans notre vie.
Les sept dons de l’Esprit Saint sont une énumération de sept dons spirituels qui ont été trouvés pour la première fois dans le livre du Prophète Isaïe.
Nous devons tout d’abord savoir que cette illustration est l’œuvre du grand mystique allemand appelé Jacob Böhme. Cette gravure est la couverture d’un ouvrage de cet auteur et les éditeurs ont posé 177 questions théosophiques à Jacob Böhme, qui a répondu à 15 d’entre elles.
Tout d’abord, cher lecteur, nous devons dire que cette illustration figure dans le livre intitulé Studium Universale, écrit par Valentin Weigel, qui était philosophe, écrivain, mystique allemand de Saxe et, selon certains, un précurseur de la Théosophie.
