Nous voyons au centre une figure féminine ailée sur une ancre, avec une couronne de laurier sur la tête, semant du blé et pointant vers le ciel. C’est la VIERGE MÈRE NATURE, elle porte des lauriers sur la tête, et à ses pieds l’ANCRE qui, en plus d’allégoriser les trois forces primaires, représente dans la Franc-maçonnerie la fin de l’œuvre hermétique.
« Speculum sophicum rhodostauroticum » (Miroir de la sagesse rosicrucienne)
J’ai le plaisir de vous envoyer cette gravure intitulée « Speculum sophicum rhodostauroticum » (Miroir de la sagesse rosicrucienne). Le livre a été signé du nom de Theophilus Schweighardt Constanties
« Laboratorium chymicorum vulgarium » (Laboratoire des chimistes communs)
Cette belle gravure, chers/ères lecteurs/trices, est un appel que cet Adepte slovène a lancé à tous les chercheurs qui continuent à prétendre que la Toison d’Or est un objet matériel, oubliant qu’elle fait référence à cette partie très sacrée que nous appelons dans la Gnose le Christ intime.
« Specvluvm creatvrarum » (Miroir des créatures)
Cette gravure a été réalisée par le jésuite Ioanne David ─ 1546-1613 ─ et développée dans le huitième chapitre de son livre intitulé Dvodecim specvla Devm aliqvando videre desideranti concinnata.
« Consideratio segunda » (DEUXIÈME CONSIDÉRATION. Dans laquelle la Nature représente l’éternité)
Cette gravure, outre sa beauté, nous rappelle les archétypes liés à l’éternité que nous retrouvons dans les écritures sacrées de tous les temps.
Mais ce que nous devons surtout retenir, comme ayant la priorité dans la science qui nous intéresse, c’est la haute vertu purificatrice que possède le feu. Principe pur par excellence, manifestation physique de la pureté même, il signale ainsi son origine spirituelle et découvre sa filiation divine.
La complainte de Nature à l’alchimiste errant
Cette œuvre d’art a été créée en 1516. Elle est l’œuvre de Jean Perréal, de Paris.
La partie centrale de cette illustration alchimique nous présente l’Alchimiste debout observant le Mercure, qui est assis sur un fourneau qui, à son tour, fait partie d’un arbre.
Selon la tradition, Saint-Marin a été fondée par un tailleur de pierres chrétien, Marinus le Dalmate ou saint Marin.Cela eut lieu entre les années 275 et 366 de notre ère.
L’apparition du Feu Sacré
L’image que nous montre cette gravure figurait dans les premières pages d’un livre intitulé la première partie de la curieuse école d’art et de travail, publié en 1696, Des curieusen Kunstund Weerck-Schul ester ─ und anderer ─. L’auteur de cette gravure est Johann Kunckel, qui vécut de 1630 à 1703.
Nuits mystiques ou la clé des mystères
Je m’empresse de vous envoyer cette gravure intitulée Nuits mystiques ou la clé des mystères. Cette belle illustration nous montre la recherche de notre Pierre Philosophale avec nombre de ses détails.